Avoir un bon chauffage et de l’eau bien chaude sont primordiaux afin d’assurer le confort dans sa vie quotidienne. Il n’est cependant pas toujours facile de s’y retrouver parmi les différentes solutions présentes sur le marché. Voici quelques clés pour faire un choix éclairé. Dans l’ordre, découvrez nos conseils pour choisir une chaudière, puis les chauffe-eau et enfin les modes de chauffage.

Tout savoir sur la chaudière

La chaudière est l’appareil indispensable afin d’assurer le chauffage de sa maison. Elle permet de diffuser la chaleur dans toute l’habitation et de chauffer l’eau de la salle de bain ou douche. Avec elle, plus besoin de ballon d’eau chaude. Alors comment la choisir ? Gérer son installation ? Et combien cela coûte ?

Comment bien choisir sa chaudière  ?

Il existe des modèles adaptés à toutes les préférences et à tous les budgets, le choix se fait en fonction du climat de sa région et suivant vos objectifs.

• La chaudière à bois se développe actuellement car elle est écologique et économique. Il faut penser qu’il est nécessaire de stocker le bois, et cela dans un endroit sec et aéré.
• La chaudière au gaz : elle offre une utilisation facile qui revient moins cher que l’électricité ou le fioul, elle est particulièrement adaptée à la vie en milieu urbain.
• La chaudière au gaz propane GPL est conseillée dans les régions isolées. Elle convient dans le cas des chaudières à condensation, mixte et couplée à des panneaux solaires.
• La chaudière à fioul est parfaite pour chauffer les grandes surfaces car elle fait preuve d’une grande efficacité, mais elle reste chère.

Quelle chaudière pour faire des économies d’énergie  ?

Voici quelques critères pour faire des économies d’énergie :

• La chaudière à haut rendement permet de réaliser des économies de 20% par rapport à une chaudière classique. Pratiquement tous les modèles proposés aujourd’hui correspondent à ce critère. Si votre maison possède une chaudière âgée mais en état de marche, n’hésitez pas à la changer par du haut rendement pour faire des économies à long terme.
• La chaudière à condensation représente environ 20 à 30% d’économies. Le principe est que la vapeur d’eau présente dans les gaz de combustion est réutilisée.
• La chaudière basse température fonctionne avec une eau entre 40 et 60°C, à la place de 90° traditionnellement. En contrepartie, son rendement est optimisé dans le cas d’installation avec des planchers radiants ou des radiateurs basse consommation.
• La chaudière pulsatoire est une chaudière au gaz qui fonctionne par micro combustion et offre un très bon rendement.
• La chaudière cogénération est un modèle récent qui est innovant puisqu’elle permet de chauffer mais aussi de produire de l’eau chaude sanitaire et de l’électricité.
• Convertir une chaudière au fioul pour qu’elle fonctionne avec d’autres combustibles comme le bois ou le gaz est tentant en rénovation. Cependant, cette manière de procéder ne semble pas rallier tous les spécialistes. Pour le faire, seul le brûleur est à changer

L’installation d’un thermostat permet de réguler la consommation et de programmer son chauffage, réalisant ainsi des économies.

Quelques points à déterminer avant de choisir

Il ne faut pas utiliser sa chaudière en surrégime au risque de devoir en changer plutôt que prévu. Il faut donc bien choisir sa puissance pour qu’elle soit adaptée à votre consommation. Par exemple, pour un appartement de moins de 100 m², une puissance entre 12 et 20 kW est suffisante, pour une maison de plus de 100 m², la puissance sera supérieure à 20 kW et pour un appartement de plus de 100 m², elle devra être comprise entre 18 et 25 kW. Il faut ajouter environ 5 kW quand la chaudière est également sollicitée pour la production d’eau chaude.
Il faut aussi se poser quelques questions judicieuses : savoir si vous utilisez aussi pour chauffer l’eau sanitaire, si vous avez choisi la chaudière à bois, quel type de bois vous voulez utiliser : granulés, plaquettes ou bûches. Savoir si vous pouvez être raccordé au gaz de ville ou si vous devrez faire installer une citerne. Un simple raccordement est facile et peu couteux, faire installer une citerne est un chantier plus ambitieux. Il faut aussi savoir comment évacuer les gaz. Pouvez-vous le faire dans la cour de votre immeuble par exemple si vous habitez en appartement ?
L’entretien est une obligation, il doit être fait tous les ans pour qu’elle fonctionne bien d’une part et qu’elle soit à son rendement maximum.

Quelles sont les alternatives à la chaudière  ?

Si vous construisez :

• Le chauffage électrique est facile à poser et il peut être utile quand il n’existe pas de raccordement possible au gaz de ville
• La pompe à chaleur est écologique, elle utilise l’énergie des sols, de l’air et de l’eau, énergie renouvelable, et ne rejette pas de CO2. Elle peut venir en sus d’une installation existante ou pour un chauffage d’appoint. Son avantage : elle peut vous permettre de bénéficier d’une réduction d’impôt.
• Le solaire c’est une énergie renouvelable qui est très appréciée, cependant l’énergie solaire ne suffit pas le plus souvent à chauffer l’habitat en totalité.

Si vous rénovez et que les tuyaux et les radiateurs sont déjà présents, vous avez deux solutions :

• Le chauffage électrique ne représente pas un choix très judicieux, préférez encore une nouvelle chaudière ou une pompe à chaleur.
• La pompe à chaleur est un meilleur choix, elle s’adaptera à votre installation et elle est écologique. Il faudra cependant changer les radiateurs pour des basses températures.

Quels sont les prix des chaudières  ?

Les fourchettes données correspondent à une moyenne des prix relevés.

• Pour une chaudière au gaz de ville, il faut compter entre 1 500 et 6 000 euros, la chaudière GPL se trouve entre 2 000 et 7 000 euros, au fuel entre 3 000 et 8 000 et au bois entre 2 000 et 18 000 euros avant le crédit d’impôt de 22%.
• Le coût annuel courant comprenant la consommation, l’entretien et l’abonnement est de 1 000 à 1 200 euros pour une chaudière à gaz, de 1 400 à 2 000 euros pour le GPL, de 1 600 à 1 800 euros pour le fuel et entre 900 et 1 200 euros pour le bois.
• La chaudière électrique vaut entre 1 000 et 6 000 euros et coute à l’année entre 1 500 et 2 500 euros.
• La chaudière à condensation vaut entre 3 000 et 5 000 euros, mais votre consommation diminuera de 20 à 30%. La chaudière basse température coûte entre 3 000 et 5 000 euros et permet une économie d’environ 15%.
• La chaudière gaz pulsatoire coute entre 3 000 et 5 000 euros, elle permet une réduction de consommation entre 22 et 36 %.
• La chaudière micro cogénération est proposée entre 17 000 euros et 23 000 euros mais elle bénéficie d’un crédit d’impôts de 17% à 26% suivant les travaux effectués. Elle peut aussi produire entre 50 et 80% de votre consommation électrique ainsi que la production d’eau chaude.

Tout savoir sur le chauffe-eau

Un chauffe eau est nécessaire quand il n’y a pas de chaudière pour chauffer l’eau. Le choix d’un type de chauffe-eau dépend directement de vos besoins en eau chaude sanitaire et de votre système de chauffage. Le fonctionnement n’est pas le même si l’appareil est à production d’eau chaude instantané (=nécessite un peu de temps pour que l’eau chaude arrive dans les tuyaux) ou bien à accumulation (= réserve d’eau chaude disponible), à énergie électrique ou à gaz.

Quelle énergie choisir ?

Chauffe-eau électrique  : il possède un ou deux éléments chauffants selon vos besoins en eau chaude, il faut respecter certaines règles de pose dans les pièces d’eau. Il est moins cher à l’achat et ne rejette pas de résidu durant la combustion. Il demande un abonnement EDF particulier et il est énergivore.

Chauffe-eau au gaz  : différents modèles sont mis à votre disposition, la production d’eau chaude se fait à un petit prix. Il demande un entretien annuel fait par un professionnel qualifié.

Chauffe-eau solaire  : il est très écologique, mais son principal inconvénient réside dans le fait qu’il est assez couteux (achat et pose), mais il est possible de bénéficier de réductions fiscales et de subvention.

Chauffe-eau thermodynamique : il intègre une pompe à chaleur, c’est une alternative au solaire et il assure la totalité des besoins en eau chaude d’une maison.

Quelle taille ou capacité ?

Ce choix se fait par rapport à la taille de l’habitation. Pour un appartement de 25m² maximum, la capacité recommandée est de 100 litres, pour une superficie comprise entre 25 et 45 m², 150 litres, pour 50 m² à 65 m², entre 150 et 200 litres, pour 65 m² à 100 m², entre 250 et 300 litres tandis que dans un appartement de plus de 100 m², elle sera de 300 litres ou deux fois 200 litres.

Comment faire l’installation ?

Les règles de pose et l’implantation d’un chauffe-eau différent avec le modèle, mais le principe est le même. Ils doivent être raccordés au réseau électrique ou de gaz et d’eau sanitaire.
Un chauffe-eau électrique s’installe facilement. Il est nécessaire de le raccorder au réseau général en suivant bien la norme NF-C15-100 ainsi que les recommandations qui sont données par le fabricant. Les câbles rigides qui seront utilisés pour le branchement sont de section 3 par 2.5 m² en monophasé. Leur longueur doit être suffisante car il faut éviter tout contact avec la résistante qui est l’élément chauffant. Il n’est donc pas possible de raccorder directement à la résistance, il passe par le thermostat permettant ainsi de réguler la température. Avant de passer au raccordement définitif, l’appareil doit être « en eau ».

L’installer soi-même ou faire appel à un spécialiste ?

Chauffe-eau au gaz : il est recommandé de faire poser ce type d’appareil par un spécialiste. Une installation mal faite risquerait de mettre en péril la santé des occupants. De plus, les normes sont très strictes et difficiles à cerner pour un bricoleur amateur. Ce spécialiste pourra ensuite assurer l’entretien annuel indispensable.
Chauffe-eau électrique : il est plus simple à installer soi-même, s’il est petit et compact, sa pose sera plus facile. Il doit simplement être bien raccordé et fixé.
Chauffe-eau thermodynamique ou solaire : La pose pour ce type de matériel est plus complexe, il est donc largement préférable de la confier à un professionnel à moins que vous ne maitrisiez parfaitement cet équipement.

Quels sont les prix des chauffe-eaux  ?

Les prix sont une moyenne et sont en TTC hors pose. Un chauffe-eau électrique peut se trouver à partir de 100 euros, les plus chers coutant 1 500 euros. Il faut ajouter à ce coût la pose dont le prix varie entre 200 et 400 euros selon les modèles.

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Tout savoir sur le chauffage

Le chauffage de sa maison est un point crucial et il se choisit en toute connaissance de cause quand on a fait le tour des différentes solutions proposées. Si vous n’avez pas de chaudière qui assurera la production de chaleur, voici les autres solutions qui existent.

Les différents types de chauffage

Les moyens les plus connus et utilisés sont :

• Le chauffage par combustion peut être au bois, au gaz ou au fioul, il fait preuve d’une grande efficacité et permet de chauffer correctement l’ensemble de sa maison. Il produit une chaleur radiale très agréable au quotidien. Son installation reste cependant lourde.
• Le chauffage électrique offre une pose beaucoup plus simple, il est cependant réservé aux petites surfaces car il représente un coût élevé à l’utilisation. De plus, la chaleur produite assèche l’air ambiant. Les régions les plus froides l’éviteront.
• Le chauffage à énergie renouvelable est constitué essentiellement par le solaire et la pompe à chaleur. Le chauffage par système solaire oblige à avoir un système de chauffage d’appoint, ces solutions présentent l’avantage d’être écologiques.
• Le chauffage mixte bi-énergie fonctionne avec une énergie renouvelable et une énergie classique, il est recommandé dans les régions froides. Il est intéressant car il permet de limiter l’impact des résidus.

Les moyens les moins connus :

• La cheminée : elle peut servir de chauffage pour l’ensemble de l’habitation grâce à un distributeur ou récupérateur de chaleur. Elle est esthétique, conviviale et performante. Cependant, il faut prévoir de quoi la recharger régulièrement et un espace de stockage suffisamment grand pour garder votre bois bien au sec et à l’abri des intempéries.
• Le poêle chaudière : il offre les avantages d’un poêle à bois et d’une chaudière en étant raccordé au circuit d’eau chaude. Ses principaux avantages tiennent au fait qu’il est chaleureux, économique et performant. Il est de plus écologique et le ressenti est comparable à celui de la cheminée. Il nécessite cependant l’installation d’un conduit de cheminée, il faut le recharger régulièrement et stocker le bois, en particulier si vous utilisez des bûches. Si vous optez pour les granulés, le prix augmentera un peu.

Votre choix se fera suivant vos propres aspirations ainsi que la configuration du lieu.

• Le chauffage à énergie renouvelable est parfait pour les régions peu froides et dans une maison parfaitement isolée de manière à éviter le chauffage d’appoint. Si vous habitez dans une région avec des hivers plus rigoureux et que vous avez une grande surface d’habitation, préférez alors le chauffage mixte bi-énergie. Il conserve un côté écologique en limitant les résidus. Une cheminée avec récupérateur de chaleur complètera votre installation pour un confort plus important.
• Le chauffage électrique étant couteux il est à réserver aux surfaces très petites et occupées une partie de la journée seulement. En effet, il chauffe très rapidement et peut donc être baissé pendant vos absences.
• Le chauffage par combustible est idéal dans les grandes maisons un peu froides et mal isolées, cependant son installation demande des travaux assez couteux, longs et lourds. Le prix de la consommation quotidienne représente un véritable budget surtout pour le chauffage au gaz ou au fioul.

Chauffage au sol ou mural : lequel choisir ?

Ce choix se fait par rapport à différents critères. Le chauffage au sol est plus esthétique et évite d’avoir des radiateurs pas toujours très beaux dans toutes les pièces. Il permet aussi de gagner de la place et de rendre les pièces plus facile à meubler. Il nécessite cependant de gros travaux et notamment le coulage d’une dalle au dessus du système. Si l’installation de départ n’a pas été prévue pour, cela risque de prendre du temps et de couter cher. Certains pensent que le chauffage au sol est mauvais pour la circulation des jambes. Si l’installation est bien faite, le sol ne doit pas être trop chaud et évite ce type de problème.

Le chauffage mural à base de radiateurs classiques est plus simple à installer, de plus si un radiateur est défectueux, le changer sera relativement simple. De plus, il existe des modèles très design et parfois même personnalisables qui sont très esthétiques et conviennent à toutes les décorations. Ils sont généralement moins chers. Leur installation est plus simple et peut être faite sans intervention d’un spécialiste.

Comment optimiser votre installation au maximum ?

Pour optimiser son installation quelques pistes peuvent être explorées. En effet, lorsque l’on change son installation où une partie de celle-ci, le but recherché est un maximum d’efficacité.
L’isolation fait partie du premier réflexe à avoir pour réduire ses besoins en chauffage jusqu’à 60% et bénéficier d’un confort agréable.
Dans le cadre d’un chauffage électrique, il faut savoir que le mur peut absorber jusqu’à 25% de la chaleur dégagée par le radiateur, il est donc conseiller d’intercaler une couche d’isolant entre le mur et le radiateur, il faut choisir un thermoréflecteur qui renverra la chaleur dans la pièce.
Pour un chauffage produit par une chaudière, isolez les tuyaux avec une gaine en laine de verre, caoutchouc ou autre isolant ainsi l’eau sera plus chaude quand elle arrivera dans le circuit.

Faire l’installation soi-même ou passer par un professionnel

L’installation du chauffage soi-même demande quelques connaissances de base avant de se lancer. Pour chaque pièce de la maison, calculez le volume totale, ensuite, multipliez par un coefficient de cette manière :

• 50 W/m³ pour les pièces « de vie » : salon, salle à manger, cuisine
• 40 à 45 W/m³ pour les chambres
• 60 W/m³ pour la salle de bains.

Volume de la pièce à multiplier par le coefficient donne la puissance des radiateurs pour la pièce.

Ensuite, vérifiez que la totalité du volume de votre maison est couverte par la puissance totale de votre installation, en comptant 50 W/m³ sur le volume total. Ainsi les espaces non chauffés comme la cage d’escalier et le grenier sont prise en compte.
Répartissez les radiateurs de façon la plus homogène possible. Il est préférable de les placer sous la fenêtre, car cela crée un mouvement de convection qui isole du froid du fait que l’air chaud est reflué au centre de la pièce.

La chaudière doit être au moins aussi puissante que le total de votre installation. Prenez une marge de 20% de puissance en plus sur la chaudière pour compenser l’encrassement du brûleur entre deux entretiens et parce que le rendement n’est pas constant.
Passer par un professionnel est intéressant car vous pourrez lui confier la maintenance en cas de problème ou de panne. Connaissant bien le circuit, il lui sera plus facile d’identifier le souci. C’est aussi un gain de temps considérable pour qui n’est pas de la partie. C’est une partie importante de la rénovation qu’il est conseillé de confier aux spécialistes.

Le chauffage électrique demandant une installation plus simple, il pourra être fait par soi-même dans un souci d’économie. D’autant plus qu’il ne demande généralement pas de maintenance particulière.
Demandez des devis, trois au moins afin de savoir combien vous coûtera l’installation de votre chauffage.

Quel est le prix d’un chauffage central  ?

Pour les équipements, voici les prix pratiqués (du plus petit au plus grand) :

• Chaudière à bois : de 2000 à 18 000 euros
• Chaudière gaz : de 15 000 à 7 000 euros
• Chaudière au fioul : de 3 000 à 8 000 euros
• Pompe à chaleur aérothermie : de 5000 à 15000 euros
• Pompes à chaleur géothermie : de 9000 à 20000 euros
• Poêle-chaudière : de 3000 à 20000 euros
• Cheminée avec distributeur ; à partir de 200 euros Cheminée avec récupérateur : de 300 à 1500 euros

Prix des systèmes de diffusion :

• Radiateur électrique : de 30 à 2 000 euros en moyenne
• Radiateur à eau : de 30 à 1 500 euros
• Chauffage sol électrique : de 30 à 40 euros du m◊
• Chauffage sol radiant : de 70 à 100 euros le m◊
• Chauffage plafond : entre 60 et 90 euros du m◊
• Chauffage mural : environ 100 euros le m◊

A savoir : vous pouvez bénéficier de la TVA à 7% selon les équipements achetés et les travaux effectués ainsi que d’un crédit d’impôt.
Le choix en matière de chauffage et de production d’eau chaude est vaste, il faut donc bien réfléchir avant de faire sa sélection et tenir compte de l’isolation de son habitation et de ses désirs. Sachez cependant que choisir un type de chauffage ou de chauffe-eau écologique permet de faire des économies et de préserver l’équilibre de la planète.